La mise à niveau technologique et l'entrepreneuriat doivent être facilités par un financement adéquat. Mais ces financements butent sur l’inaccessibilité des ressources financières nécessaires, au Sénégal.
Pour preuve, un déficit d'un milliard de dollars US (environs 615 milliards 96 millions Franc Cfa) a été relevé dans notre pays, en terme d'accès au financement pour les micro, petites et moyennes entreprises (Mpme), par le Groupe de la Banque mondiale.
Le Sénégal est également pointé du doigt comme étant ‘’le pays de la sous-région de l'Uemoa où les entreprises déclarent être les plus contraintes financièrement (World Bank 2014)’’, a relevé ladite institution dans un ouvrage. Il s’agit de celui intitulé ‘’Sénégal numérique et croissance inclusive’’. Dans cet ouvrage parcouru par Dakaractu, il est relevé l’importance de la ‘’transformation technologique pour plus d’emplois de qualité’’.
Le financement est principalement assuré par le secteur bancaire, les marchés des capitaux et le capital-risque/capital-investissement étant naissants alors que les financements alternatifs n'existent pas, a relevé ledit document. Quant aux ressources du secteur bancaire, elles sont pour la plupart affectées au financement des grandes entreprises et de l'État (et des entités appartenant à l'État).
Pour preuve, un déficit d'un milliard de dollars US (environs 615 milliards 96 millions Franc Cfa) a été relevé dans notre pays, en terme d'accès au financement pour les micro, petites et moyennes entreprises (Mpme), par le Groupe de la Banque mondiale.
Le Sénégal est également pointé du doigt comme étant ‘’le pays de la sous-région de l'Uemoa où les entreprises déclarent être les plus contraintes financièrement (World Bank 2014)’’, a relevé ladite institution dans un ouvrage. Il s’agit de celui intitulé ‘’Sénégal numérique et croissance inclusive’’. Dans cet ouvrage parcouru par Dakaractu, il est relevé l’importance de la ‘’transformation technologique pour plus d’emplois de qualité’’.
Le financement est principalement assuré par le secteur bancaire, les marchés des capitaux et le capital-risque/capital-investissement étant naissants alors que les financements alternatifs n'existent pas, a relevé ledit document. Quant aux ressources du secteur bancaire, elles sont pour la plupart affectées au financement des grandes entreprises et de l'État (et des entités appartenant à l'État).